A propos de la chanteuse Britney Spears, voici un exemple de ce qu'est l'ineptie à l'état pur.
Cette femme d'une vulgarité inouïe à la solde de marchands de produits de discothèques à destination d'abrutis hormonés est une caricature de petite volaille nerveuse débitrice de musique à usage "commercial-chiottique" et de chorégraphie "gallinacétique".
Ce qu'elle chante est laid, insipide, affligeant, vide, creux, indigent. Aux antipodes du bon goût, de la mesure, des règles les plus élémentaires de ce que devrait être la musique.
Bien entendu, tout le monde est d'accord avec moi là-dessus. J'enfonce une porte ouverte ici. Alors pourquoi tant de degénérés indécrottables achètent encore ses disques, donnent leur argent chèrement gagné pour aller voir bouger sur scène son cul infiniment insignifiant de "dindonnette emplumée" élevée en batterie ?
Il faut que les foules soient complètement atteintes d'authentique crétinerie, écervelées, manipulées jusqu'à la moelle épinière par les marchands de disques pour aller écouter une putain de telle envergure qui chante des inepties que je crois inégalées, à ma connaissance...
Cette poulette yankee imberbe, piercée, "scalpelisée", reformatée incarne la déchéance de la jeunesse actuelle et même de certains adultes immatures. Une face chargée d'artifices douteux, un air d'une vulgarité extrême, une toilette à vomir, des moeurs béotiennes parfaitement insupportables.
Britney Spears est une offense même à la femme, la vraie. Une offense aux artistes aussi, aux vrais.
Cette poupée de latex est la honte de l'Occident, l'antithèse de la classe, un vivant outrage à la féminité, le symbole de la nullité féminine. Après cela, allez vous étonner que des femmes de fer fondent des mouvements féministes ultra radicaux...
Je ne considère pas aussi sévèrement les individus pris à part, je m'en prends à l'état d'esprit de l'ensemble des personnes complices de l'abrutissement ambiant (une certaine catégorie de l'humanité : en général la populace, le tout-venant, le garagiste du coin, le téléspectateur de TF1, le petit esprit qui part en vacances de ski en hiver, bref le français moyen, le consommateur de base) victimes d'un affaiblissement temporaire -ou permanent- du ciboulot. Je raille ceux qui par leur conduite, leurs choix, leurs goûts infâmes, leur paresse intellectuelle, leur manque de discernement abaissent le niveau musical en cautionnant ce genre de chanteuse fabriquée sur mesure par les gros maquereaux à la tête de certaines maisons de disques, sûr que je suis de mon bon droit, de la supériorité de ma sensibilité musicale.
Ce genre de chanteuse yankee interchangeable m'est particulièrement insupportable. Quand je vois que des internautes publient sur DAILYMOTION les clips ineptes de cette créature triviale et sans talent, j'ai envie de leur dire ce que j'en pense, ce que je fais d'ailleurs ouvertement. Ces pauvres gens ne s'interdisent pas d'étaler publiquement leur indigence musicale sur DAILYMOTION, je ne vais pas me gêner pour leur dire ce que je pense de leur Bretney Spears, DAILYMOTION est fait pour cela précisément.
S'ils ne veulent prendre aucun risque de recevoir mes railleries sur leur espace personnel, ils ont la possibilité de ne pas poster les clips vidéos de cette putain américaine qui nous braille des nullités musicales jusque dans nos ascenceurs, nos kermesses, nos magasins de cabinets d'aisance.
Les abrutis sont partout, pullulent dans notre pays, sont présents sur les mers, dans les terres lointaines, envahissent tous les domaines de l'existence, allant jusqu'à piétiner les plates-bandes des beaux esprits de mon espèce. Les abrutis idolâtrent la nullité, l'ineptie, l'insignifiance, allant jusqu'à payer pour se gaver d'âneries. Ne méritent-ils pas de bons coups de pieds au cul izarriens ?
A ceux que ce discours déplairait, qu'ils sachent qu'il n'est nullement question de faire preuve de modestie ici mais de LUCIDITE. Je prétends que sur ce point les autres (ceux qui payent pour écouter brailler une imbécile "dindée" dans un micro) ont tort et que moi j'ai raison. Cela ne se discute pas, cette affaire subjective n'atteint pas la populace. Le Beau regarde les belles gens de mon espèce, je me dois de défendre la beauté, de dénoncer la vulgarité. Un bel esprit comme moi ne peut qu'avoir raison sur cette question essentielle et la populace tort puisque par nature, par réflexe, par infirmité de l'âme elle fait le choix de la laideur, de la vulgarité, de la bêtise. La preuve chez les disquaires, sur le NET, dans la rue.
Le Beau est constitutif du bel esprit qui raille, critique, toise, professe, pérore doctement, tandis que la laideur, la bassesse, la vulgarité caractérisent l'homme de la rue, l'automobiliste moyen, l'adepte de football, le pousseur de caddie, le payeur de place de parking, le possesseur de tondeuse à gazon, le propriétaire de maison Phénix, l'acheteur de CD de Britney Spears.
L'univers izarrien
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